Canal + revient avec un film basé sur l’humour et la transmission d’un code afin de pouvoir se connecter à son compte canal. Partager ses codes de connexions à un service de streaming est devenu une habitude. Seulement, on ne peut jamais savoir si la personne qui nous a prêté ses codes est la réelle propriétaire de ces derniers. La preuve, même le président du groupe Canal + se retrouve à demander les codes de sa maman. ?
Le message à retenir est “Le plus simple pour partager ses codes Canal+, c’est d’en avoir”.
Un spot publicitaire innovant, décalé et un plaisir à regarder avec ce super casting.
Dans cette campagne, Nike partage sa vision du “ensemble”. Nous retrouvons 53 athlètes de ces deux dernières années. Le sport est le lien entre ces derniers, le vecteur de rassemblement. Le message est limpide, personne ne nous arrêtera. Sexe, lieux, croyances et orientations ne sont qu’un lien de rassemblement.
Un spot émouvant, et qui prouve encore que Nike est très présent pour parler des inégalités sociales.
La campagne a été réalisée afin de sensibiliser contre les agressions sexuelles et sexistes. Le but est de rappeler que les femmes peuvent s’habiller comme elles le souhaitent. Elle est composée d’une série de huit photographies de modèles parisiennes prises par Shelby Duncan.
HandsAway a conçu une application afin de lutter contre le harcèlement de rue. Elle permet à une femme menacée de se géolocaliser, de décrire la menace mais aussi d’être soutenue.
BIG NEWS?
? HANDSAWAY LANCE SA NOUVELLE CAMPAGNE “CECI N’EST PAS UN CONSENTEMENT” !
? Cette campagne rappelle qu’une femme a le droit de s’habiller comme elle le souhaite. Un grand merci à la photographe Shelby Duncan, aux modèles et à @TBWA_PARIS ! ?#thisisnotconsent pic.twitter.com/OaMAMHIdiY— HandsAway (@HandsAwayParis) February 20, 2020
Pour vous rappeler, “86% des femmes disent avoir déjà été victimes de harcèlement de rue” selon un sondage de l’Ifop en 2018.
Cette campagne a été lancée afin qu’il ne soit plus nécessaire de démontrer l’absence de consentement de l’enfant.
Isabelle Aubry, présidente de Face à l’inceste a spécifié que cela faisait vingt ans de lutte contre cette aberration légale.
Les deux cauchemars dans cette campagne sont le membre de la famille, et le magistrat qui demande à l’enfant “es-tu seulement sûr d’avoir dit non ?”.
Superbement réalisée, nous prenons conscience de ce qui est présenté dans la loi.
Ici pour parlons bel et bien de la campagne que Monoprix a créé lors de la fermeture des rayons dit “non-essentiels”. Et ils ont été forts. Le ton utilisé est moqueur face aux décisions du gouvernement. Le groupe a bien spécifié qu’il n’y a aucune intention politique, simplement une volonté d’apporter de l’humour et de la légèreté pendant cette crise sanitaire.